jeudi 24 décembre 2020

Haut-Karabakh : Trop d’imprécisions dans l’accord de cessez-le-feu

 


 

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Commentaires et Traductions de Gérard Merdjanian

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Le gouvernement arménien est toujours persuadé qu’Ilham Aliev est prêt à négocier sous l’égide des coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE, et par là, à accorder aux Arméniens du Karabakh le droit à l’autodétermination. KOLOSSALE ERREUR.

 

A croire que la guerre éclair qui a couté des milliers de morts et la perte de 80% du territoire artsakhiote n’a servi à rien. Ce n’est pas parce les médiateurs du groupe de Minsk de l’OSCE prônent la reprise des négociations de paix que le dictateur va s’exécuter et restituer les localités du Haut-Karabakh qu’il vient de conquérir. Les sept districts entourant le Haut-Karabakh sont déjà comptabilisés dans «pertes et profits».

 

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir annoncé maintes et maintes fois la couleur. Le vassal d’Erdoğan veut récupérer la TOTALITE de son territoire d’avant l’indépendance, et cerise sur le gâteau gagnée récemment, un couloir Azerbaïdjan-Nakhitchevan, couloir qu’il voudrait sous le statut de corridor, histoire de couper l’Arménie de l’Iran. Mettant ses menaces à exécution, il a commencé à grignoter les villages arméniens du Haut-Karabakh profitant de l’absence de soldats de la paix russes dans le coin. Et comme en face, les militaires arméniens sont pour le moins désorganisés, il essaie de faire de même avec les villages frontaliers de l’Arménie. Il a pour ce faire le feu vert du sultan ottoman, qui, directement ou indirectement, lui indique où frapper. Cette tactique ne poursuit qu’un seul but : réaliser son rêve de panturquisme, – la continuité territoriale de la méditerranée jusqu’à la région autonome ouïghour du Xinjiang. 

mercredi 16 décembre 2020

Haut-Karabakh : Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

 


 

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Commentaires et Traductions de Gérard Merdjanian

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Le groupe de Minsk de l’OSCE après avoir indiq
ué pendant des années ce qu’il y a lieu de faire et de ne pas faire, sans jamais élever la voix ou tancer qui que ce soit pour ses dérapages, persiste et signe sa démarche habituelle. Dernière fin de non-recevoir, le
«cause toujours tu m’intéresses» du président azéri à Bakou il y a quelques jours.

 

Depuis l’arrivée au pouvoir d’Ilham Aliev en octobre 2003, le risque d’une reprise des hostilités a commencé à augmenter tant dans ses propos, «l’Azerbaïdjan recouvrira tôt ou tard son intégrité territoriale, Haut-Karabakh compris», que dans ses actes, d’abord par des violations successives du cessez-le-feu puis par l’achat massif à coups de milliards de matériel et d’équipements militaires de toutes sortes.

 

Depuis le rejet des propositions de Madrid (trois principes de base et six éléments principaux) en 2007, ce que bon nombre d’observateurs pressentaient est arrivé : Le passage aux actes.

samedi 5 décembre 2020

Haut-Karabakh : Les répliques du séisme s’amplifient.

 


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Qu
’on le veuille ou non, le cessez-le-feu signé le 9 novembre à Moscou tient grâce aux soldats de la paix russes, lesquels ne sont déployés que sur la ligne de contact et le long du couloir de Latchine.

 

Le tremblement de terre de la défaite n’a pas fini de faire des dégâts dans la politique intérieure arménienne. Mais hélas, des détériorations également dans sa politique étrangères et plus particulièrement dans ses relations avec Moscou. On en est certes pas à un froid diplomatique, mais depuis l’attaque surprise(?) azerbaidjanaise du 27 septembre, les échanges entre Erevan et Moscou ont très fortement augmenté et pas toujours à l’avantage des Arméniens. Le tout sous l’œil goguenard du potentat assoiffé de territoires.

 

La soldatesque azérie, quant à elle, limitée à la sempiternelle ritournelle du «Allah akbar», ne pouvant s’en prendre directement aux Arméniens, se défoule sur leurs lieux de cultes – églises et monastères, profane leurs tombes, ou détruit ce qu’il reste des habitations après les avoir pillés. On comprend aisément que revenir dans leur foyer, quand il est encore habitable, pose un sérieux problème aux Artsakhiotes.

jeudi 26 novembre 2020

Conflit du Haut-Karabakh (suite)

 


 

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Un cessez-le-feu a été signé le 9 Novembre, il est respecté depuis. Les 10.000 morts et plus encore de blessés attendent que les grandes puissances, et plus spécialement les pays coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE, proposent une solution acceptable pour tous.

 

Hélas, on est loin du compte.

 

Les Etats-Unis sont amis avec tous ceux qui sont contre la Russie et surtout contre l’Iran. La dernière tournée du secrétaire d’Etat Mike Pompeo en est la preuve flagrante. Passons la parenthèse de la visite française, son premier but était de donner des bons points à la Géorgie, ex-RSS en froid avec Moscou depuis la perte de l’Abkhazie et de l’Ossétie du Sud. Puis de faire savoir à la Turquie tout ce que Washington pensait d’eux pour ses achats de S-400 russes, pour finalement atteindre son but final : dorloter Israël et parallèlement, faire un pied-de-nez aux Palestiniens en validant les colonies de peuplement, et aux Syriens en confirment l’annexion du plateau du Golan.

 

lundi 16 novembre 2020

"Les Turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil. Le Karabakh n'est plus qu'un sombre écueil."

 


 

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Pardon Monsieur V. Hugo pour cet emprunt, votre poème 191ans après, est toujours d’actualité. Le Turc reste le Turc qu’il s’appelle Erdoğan ou Aliev, sa sauvagerie n’a pas changé.

 


Un accord pour la cessation des hostilités n’est pas un accord de paix. Il permet aux Arméniens du Karabakh de souffler, mais à quel prix !


Une chose est sûre : A l’inverse des trois accords de cessez-le-feu précédents – 10, 17 et 25 octobre, les attaques turco-azéries ont réellement cessé à compter du 9 Novembre au soir. Non parce que les Turcs respectent leur engagement mais parce que des soldats russes se déploient sur la ligne de contact et, qu’abattre des militaires ou du matériel russe est très fortement déconseillé même quand on s’appelle Erdoğan. Est-ce que pour autant les dissensions ont pris fin ? Certainement pas. Dans la situation actuelle personne n’est satisfait. 

samedi 7 novembre 2020

Haut-Karabakh : Les forces turco-djihadistes prennent carrément les rênes.

 


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Commentaires et Traductions de Gérard Merdjanian

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La dernière rencontre à Genève entre les ministres des Affaires étrangères de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan, n’a pas été, une nouvelle fois, suivie des faits. Encore mieux, le lendemain le dictateur azéri a remis les points sur les «i» : il poursuivra la guerre, et ce, jusqu’à la victoire finale, à savoir, la capitulation et le retrait total des troupes arméniennes du Haut-Karabakh.


Le soutien – matériel et militaire, de la Turquie a été renouvelé par la voix de son ministre des Affaires étrangères Mevlüt Cavuşoğlu, lors de sa réunion à Bakou avec Ilham Aliev (Cf. § Azerbaïdjan). Pas plus le despote azéri que son mentor ottoman, ne comptent s’arrêter en si bon chemin. Pourquoi le feraient-ils ? Face à eux, ils ont un ventre mou, comprenez par là la communauté internationale, pays coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE compris, tout juste bonne à palabrer et à donner des leçons.

 

-     - Les Etats-Unis ont d’autres chats à fouetter, et tiennent surtout à garder la base d’Inçirlik de l’OTAN, à quelques encablures de leur (USA et Israël) bête noire : l’Iran ;

-     - L’Union européenne est empêtrée, depuis le changement de CEE en UE, dans ses prises de décisions à vingt-sept, dès qu’il s’agit d’un sujet politique, militaire, ou tout simplement non économique ;

-      - La France est l’amie de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan, neutralité oblige. On notera toutefois que son chef de la diplomatie,  ex-ministre de la Défense, est surtout l’ami de qui commerce substantiellement avec la France, Bakou par exemple. On se rappelle la manière on ne peut plus chaleureuse avec laquelle il avait reçu son homologue azerbaidjanais Elmar Mammadiarov en mai 2019 ;

-     - La Russie observe malicieusement les belligérants sachant pertinemment que les positions de chacune des parties – autodétermination et intégrité territoriale, sont inconciliables. Poutine se contente de les saupoudrer de son paternalisme. L’important est qu’ils restent tous deux dans son giron ;

-   - La Turquie rêve de terminer ce que les Jeunes Turcs avaient incomplètement réalisé en 1915 - exterminer tous les Arméniens se trouvant sur leur chemin ; et surtout s’accaparer du Zankézour (Siunik) pour avoir la continuité territoriale vers les pays turcophones (panturquisme) ;

-   - L’Azerbaïdjan pour sa part, rêve de retrouver la situation d’avant 1988 avec maintenant un objectif supplémentaire, le départ définitif des Arméniens du Karabakh. Une chose est devenue claire pour les dirigeants de Bakou, sans le soutien du grand frère ottoman, l’avenir s’annonce plutôt sombre. Les mensonges successifs du despote, que ce soit sur l’origine des combattants ou les armes prohibées utilisés, sont de plus en plus dévoilés au grand jour.

 

Quant aux Arméniens qui subissent depuis le 27 septembre l’assaut longuement préparé des forces turco-djihado-azéries, ils espèrent que la communauté internationale sortira de son agitation verbale et leur apportera une aide autre que morale.

 

 

 

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Traductions – revue de presse

 

Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, de Trend, de Hurriyetet de l’OSCE


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OSCE

 


Après six heures de réunion entre les ministres des Affaires étrangères de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan, sous l’égide des médiateurs en charge des conflits du Haut-Karabakh, les coprésidents du Groupe de Minsk de l'OSCE (Igor Popov de la Fédération de Russie, Stéphane Visconti de la France et Andrew Schofer des États-Unis d'Amérique) ont publié samedi 31 octobre la déclaration suivante:

 

«Les coprésidents se sont réunis séparément et conjointement avec le Ministres des Affaires étrangères, arménien Zohrab Mnatsakanian et azerbaïdjanais Jeyhun Bayramov, à Genève le 30 octobre. Le 

 

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Arménie

 


Le Premier ministre arménien Nigol Pachinian a été interviewé par AL Arabiya ; extraits :

 

Question : M. Pachinian, dans quelle mesure la situation au Karabakh est-elle dangereuse aujourd'hui, d'autant plus que vous avez appelé il y a quelques jours à une mobilisation militaire et civile à l'échelle nationale ?

 

Réponse : Je veux parler des menaces régionales, car je pense qu'il est évident à quel point la situation est dangereuse pour le Haut-Karabakh et l'Arménie. Mais je pense qu'il est important que votre public comprenne pourquoi la guerre continue, et quel en est le contexte.

 

Tout d'abord, 

 

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Azerbaïdjan

 


En recevant une délégation conduite par le ministre des Affaires étrangères de Turquie, Mevlüt Cavuşoğlu, le président de l'Azerbaïdjan Ilham Aliev a déclaré :

 

«J'ai répété à plusieurs reprises pendant cette période que nous voulions que cette question soit résolue à la table des négociations. Cependant, l’Arménie ne permet pas que cela se produise, elle a gravement violé le cessez-le-feu déclaré à trois reprises, y compris en bombardant Ganja avec des missiles balistiques, puis Barda, à la suite de quoi nous avons eu de nombreuses victimes. Cela montre une fois de plus le 

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Russie

 


«Moscou fait et continuera à faire tout ce qui est en son pouvoir pour mettre fin au conflit au Haut-Karabakh,» a déclaré le président Vladimir Poutine lors d'une réunion avec des représentants de congrégations religieuses.

 

"La Russie fait tout pour que le conflit dans le Caucase du Sud se termine le plus rapidement possible, afin de sauver la vie de personnes qui se tiennent face à face et utilisent des armes pour atteindre des objectifs qui, dans notre profonde conviction, peuvent 

 

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Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, de Trend, de Hurriyet, et de l’OSCE

 

 

 

vendredi 30 octobre 2020

Le cessez-le-feu au Karabakh : Et un loupé de plus

 


 

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Cela devient ridicule
si ce n’était pas tragique. Après les cessez-le-feu humanitaires conclu les 10 et 17 octobre à Moscou, puis celui conclu vendredi 23 octobre à Washington, rien ne change sur le terrain. Il reste encore Paris pour conclure un nouvel accord de cessez-le-feu, et la boucle des coprésidents sera bouclée. Les médiateurs auront fait leur devoir : Demander aux belligérants de cesser les hostilités, suivis en cela par la communauté internationale, Turquie mise à part.

 

Ce qui est, ou devrait être, clair pour tout le monde, à commencer par coprésident du groupe de Minsk de l’OSCE, c’est que les paroles seules n’ont jamais empêché les militaires de continuer leur offensive surtout lorsque ceux-ci ont reçu l’ordre de leur chef, en l’occurrence des deux présidents tucs et azéris, de continuer.

 

Question : Combien de fois, et de temps, les pays coprésidents doivent-ils proposer la même chose avant de se rendre compte que c’est peine perdue face à l’entêtement de Bakou ? Peut-être serait-il temps de procéder autrement depuis le Conseil ministériel de l'OSCE de novembre 2007 à Madrid ?

 

vendredi 23 octobre 2020

Ilham Aliev vise aveuglement un Karabakh sans Arméniens.

 


 

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Commentaires et Traductions de Gérard Merdjanian

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Le dictateur azéri regrette amèrement de n’avoir
pas pu réitérer l’opération de «nettoyage ethnique» au Haut-Karabakh à l’instar de ses prédécesseurs au Nakhitchevan. Il essaie désespérément de rattraper son erreur.

 

Comme a dit le pantin articulé d’Ilham Aliev, Hikmet Hajiev: «Enough is enough», parlant des négociations de paix qui trainaient en longueur ; les dirigeants arméniens ont la même réflexion mais elle concerne les engagements non respectés de l’Azerbaïdjan.

 

Ce qui est moins compréhensible, c’est la réaction ‘soft’ des coprésidents – des paroles, pas d’actes, sauf si lesdits coprésidents apprécient que Bakou se paie ouvertement leur tête ; business mis à part, bien sûr. Si Poutine avait fait le dixième de ce que fait Aliev, il y a longtemps que les Occidentaux lui seraient tombés sur le poil et que les sanctions pleuvraient. Deux poids, deux mesures.

 

Car ce n’est pas la première fois, et certainement pas la dernière, que le dictateur azéri faillit à sa parole. Il en est ainsi depuis qu’il a hérité du siège de son papa et que les pétrodollars lui ont monté à la tête.

 

Combien de morts faut-il pour que les pays dits civilisés décident d’intervenir autrement que par des propos génériques et lénifiants et se contentant de prendre pour argent comptant les engagements du va-t-en guerre azéri ?

 

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Mort d’un citoyen au-dessous de tout soupçon

 

Aux élections législatives turques de juin 2015, trois arméniens ont été élus à l’Assemblée nationale sur trois listes différentes :

-      Garabet (Garo) Paylan, sur la liste Parti démocratique du peuple (HDP), parti pro-kurde ;

-      Selina Özuzun Doğan sur la liste Parti populaire républicain (CHP), parti laïc social-démocrate fondé par Atatürk ;

-      Markar Essayan sur la liste Parti Justice et Développement (AKP), parti islamiste et conservateur.

 

Autant la diaspora arménienne connait le premier par ses prises de positions concernant le problème arménien, jusqu’à aller mettre sa vie en danger, autant les deux derniers sont d’une discrétion exemplaire sur leurs activités pro-arméniennes.

 

Toutefois, le cas du dernier mérite notre attention.

 


Monsieur Markar Essayan, arménien apostolique, fer de lance de sa communauté, décédé il y a quelques jours, était membre du parti islamiste AKP – instrument du sultan Erdoğan, membre également de son Conseil exécutif (MKYK). En bon soldat, lors de la session d’hiver 2016 de l’APCE, il avait voté avec la délégation turque le retrait des forces arméniennes de l’Artsakh et la restitution de tous les territoires à l’Azerbaïdjan. Bizarre pour quelqu’un qui se vantait d’être un arménien fervent, un chrétien pratiquant, ex-collaborateur du journal Agos dirigé par feu Hrant Dink, vote toutes les lois anti-minorités, anti-arméniennes comprises.

 


Erdogan reconnait les siens et sait leur rendre hommage, même s'ils sont décédés.

 

Toutefois, quand on soulève le couvercle de son CV familiale, on se rend compte que ‘les chiens ne font pas des chats’.

 

Son grand-père, Vahé Ihssan (changé en Essayan par sa descendance), a eu un rôle plus qu’exécrable durant le génocide de 1915. Il est d’abord membre de la section politique de la police secrète turque, avant d’être nommé à la censure. Voyant le vent tourner, il quitte ses employeurs de la Sublime Porte pour se rapprocher du mouvement national de Mustapha Kemal, continuant son activité principale : fournir aux autorités turques des listes de révolutionnaires et de d’intellectuels arméniens.

 

C’est Archavir Chiraguian (justicier Dachnag), membre de la section d’exécution au Djagadamard, qui met fin aux agissements du traitre Vahé Ihssan en mars 1920. (*)

 

 

 

(*) Pour plus de détails, vous pouvez vous reporter au livre de Jacques Derogy OPERATION NEMESIS - Les vengeurs arméniens (ed. Fayard).

 

 

 

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Traductions – revue de presse

 

Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, et de Hurriyet


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Arménie

 


«L'Arménie était et reste prête pour un règlement pacifique du conflit du Haut-Karabakh. Comme l’a indiqué le Premier ministre Pachinian le conflit du Karabakh n'a pas de solution diplomatique à ce stade vu que l'Azerbaïdjan affirme qu’il n'est prêt pour rien d'autre que la capitulation du Karabakh et le retrait total des forces arméniennes,

 

Le Premier ministre a également exprimé sa volonté de rencontrer le président azerbaïdjanais à Moscou. L'Arménie apprécie hautement les efforts de médiation des pays coprésidents du Groupe de Minsk de l'OSCE, en particulier 


Suite


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Turquie

 


«La Turquie n'hésitera pas à envoyer des soldats et à fournir un soutien militaire à l'Azerbaïdjan si une telle demande est faite par Bakou. Le groupe de Minsk de l'OSCE - formé pour arbitrer le conflit et dirigé par la France, la Russie et les États-Unis, essaie de maintenir le statu quo et soutient l'Arménie, politiquement et militairement,» a déclaré le vice-président 

 

Suite

 

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Russie

 


«Le nombre de morts depuis le début des hostilités dans la zone de conflit du Haut-Karabakh approche les 5.000 des deux côtés," a déclaré le président Vladimir Poutine.

 

«Personne n'est plus intéressé par la résolution du conflit au Karabakh que la Russie. Nous avons proposé une variété d'options pour régler la crise du Karabakh, il semblait à un moment donné que nous trouverions une solution, malheureusement, cela ne s'est pas produit.  Je m’entretiens avec


Suite

 

 

 

 

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Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, et de Hurriyet

 

 

 

 

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