vendredi 18 mars 2022

Un traité de paix Arménie-Azerbaïdjan ?

 


 

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Commentaires et Traductions de Gérard Merdjanian

 

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Commentaires

 

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Parler d’un traité de paix entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, relève plus d’un objectif lointain que d’une réalité à court terme. Sauf, bien-sûr, à céder l’Arménie à un vil prix au tandem turco-azerbaïdjanais.

 

Lorsqu’on lit les préconditions exigées par Bakou (Cf. § Azerbaïdjan) pour ce faire, ce qui saute tout de suite aux yeux, c'est l’absence de toute référence au Haut-Karabakh (Artsakh) et au groupe de Minsk de l’OSCE. Quand on sait que le conflit entre les deux pays a démarré en 1988, à cause justement de la région autonome du Haut-Karabakh (Oblast) qui avait exprimé le désir d’être rattachée à la RSS d’Arménie, on reste perplexe quant au sérieux de certaines demandes. En clair, Bakou aimerait un retour à la carte de la RSS d’Azerbaïdjan, avec un bonus de quelques km² de territoire arménien en plus. Dans la même veine que Poutine avec la grande Russie.

 

Il faut reconnaître que le dictateur azéri a déclaré à de multiples reprises ce qu’il comptait faire pour récupérer ses territoires ; menaces qu’il a mises en œuvre en septembre 2020. De même, il déclare à tous vents depuis sa victoire du 9 novembre 2020 que le conflit du Karabakh est terminé pour lui. Aussi, pour le despote le Haut-Karabakh n’existe plus en tant tel, mais est redevenu un des 78 districts azerbaïdjanais (Khankendi), « provisoirement occupé » par les soldats de la paix russes. En conséquence, toujours pour lui, le groupe de Minsk de l’OSCE n’a plus de raison d’être, à commencer par leurs trois coprésidents.

 

Côté Arménie, un soudain revirement s’est produit dans sa politique étrangère - alors que les plaies de la guerre de 44 jours sont loin d’être refermées. Terminée, l’animosité envers l’Azerbaïdjan, comme d’ailleurs celle envers la Turquie. On parle de traité de paix avec l’un et de normalisation des relations avec l’autre. Certes Erevan fait des remarques et se plaint à qui veut l’entendre, c'est-à-dire personne, mais le tout à fleurets mouchetés.

 

Quelle mouche a piqué le premier ministre arménien ?

 

Pour plaire à Aliev, on met en sourdine les milliers de morts ; les prisonniers de guerre non libérés et/ou torturés ; la délimitation/démarcation toujours au stade balbutiant et des km² de territoire occupés par les soldats azéris ; les villages artsakhiotes pris pour cibles ; les monuments religieux arméniens vandalisés, voire attribués aux Albanais (Aghvans).

 

Pour plaire à Erdoğan, on laisse de côté la reconnaissance du génocide arménien et les réparations qui en découlent ; le tracé frontalier issu du traité de Kars (1921) entre la Turquie kémaliste et les bolchéviks ; ou plus récemment la participation directe de la Turquie et de ses Djihadistes à la guerre de 44 jours

 

La réponse de cette volte-face du gouvernement arménien est à chercher du côté du Kremlin.

 

On avait Robert Redford qui murmurait à l’oreille des chevaux, Recep Erdoğan à celui d’Ilham Aliev et depuis peu Vladimir Poutine à celui de Nigol Pachinian.

 

Et qui sera le dindon de la farce ?

 

 

 

 

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Traductions – revue de presse


Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, de Armenpress, de News.az, de APA de Azernews, et de Hurriyet 


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Arménie

 


Le Premier ministre Nigol Pachinian a eu une conversation téléphonique avec le secrétaire d'État américain Antony Blinken.

 

Les interlocuteurs ont abordé les questions à l'ordre du jour des relations arméno-américaines et ont attaché de l'importance à assurer la continuité du dialogue stratégique afin de développer et de renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines. Le Premier ministre a remercié la partie américaine pour 

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OSCE

 


« L'OSCE accorde une grande importance à la protection et à la préservation des objets du patrimoine culturel depuis sa création. Dès juin 1991, lors du Symposium de Cracovie sur le patrimoine culturel, les États qui participaient alors à la CSCE se sont engagés à s'efforcer de protéger le patrimoine culturel conformément aux accords internationaux pertinents. En outre, les États participants se sont engagés à coopérer étroitement avec les confessions religieuses, les institutions et les organisations en ce qui concerne la préservation du patrimoine culturel et à 
 

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Géorgie

 


« L'exercice de poste de commandement OTAN-Géorgie se tiendra du 20 au 25 mars. Les manœuvres impliquent des exercices sur ordinateur, et non des exercices sur le terrain. Leur objectif est d'améliorer les compétences de planification des opérations et d'échange d'expériences, »
a indiqué le ministère géorgien de la Défense.

 

Des représentants de 23 pays membres et partenaires de l'alliance participeront aux exercices multinationaux. Ils auront lieu au Centre conjoint Géorgie-OTAN de formation et d'évaluation (JTEC) à Krtsanisi.

 

Les manœuvres sont prévues dans le cadre du paquet substantiel de mesures Géorgie-OTAN, que le pays a reçu en 2014 à la suite du sommet du Pays de Galles. La dernière fois qu'un exercice similaire de commandement et d'état-major a eu lieu en 2019.

 

La coopération institutionnelle entre la Géorgie et l'OTAN a commencé en 1994, lorsque la Géorgie est devenue membre du programme Partenariat pour la paix.

 

[Ndlt : Rappelons que les six pays du partenariat de l’Est de l’Union européenne (Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Géorgie, Moldavie et Ukraine) ne sont pas membres de l’OTAN. Seuls les trois derniers ont fait une demande d’intégration à l’Organisation, mais également à l'UE.]

 

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Turquie-Azerbaïdjan

 


"À mon avis, il n’est pas nécessaire qu'une tierce partie s'implique dans les négociations d'un accord de paix entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie. L'Azerbaïdjan et l'Arménie doivent s'asseoir à la table des négociations et discuter",
a déclaré le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Çavuşoğlu, dimanche dernier.

 

Les commentaires de Çavuşoğlu font suite aux propos du porte-parole du ministère arménien des Affaires étrangères, Vahan Hunanian, déclarant qu'Erevan va 

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Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, de Armenpress, de News.az, de APA,  de Azernews, et de Hurriyet

 

 

dimanche 13 mars 2022

Relations Arménie-Azerbaïdjan (suite)

 


 

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Commentaires et Traductions de Gérard Merdjanian

 

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Commentaires

 

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Le président Ilham Aliev a rencontré Vladimir Poutine le 20 février dernier, c'est-à-dire la veille de l’ouverture des hostilités russo-ukrainiennes suite à la reconnaissance par Moscou des républiques séparatistes du Donbass. Le premier ministre Nigol Pachinian va également rencontrer Poutine à Moscou en avril prochain. Le sujet principal sera très probablement les relations Arménie-Azerbaïdjan avec les mises en œuvre des décisions issues des trois réunions trilatérales, Arménie-Azerbaïdjan-Russie, déroulées à Moscou.

 

Les relations avec Bakou se dégradent malgré l’optimisme affiché d’Erevan. Rien ou quasiment rien n’a progressé, le compte rendu de la dernière réunion, 26 novembre 2021, en est le pâle reflet. Toutefois, deux importants points restent encore en vigueur : l’état de non guerre arméno-azérie se poursuit et surtout, les Artsakhiotes sont toujours protégés par les soldats de la paix russes. A l’inverse,

-      Tous les prisonniers de guerre n’ont pas été libérés ;

-      La délimitation/démarcation n’a pas encore commencé, ce qui au passage permet au dictateur de s’accaparer de dizaines de km² de territoires arméniens ;

-      - Vu que les 2.200 casques bleus russes ne pouvant être partout, la soldatesque azérie s’attaque aux villages artsakhiotes ;

-      - Ajoutons à tout cela, qu’aucun observateur international ne se trouve sur les territoires conquis, et surtout pas l’UNESCO, l’autocrate s’en prend aux monuments religieux arméniens, au prétexte qu’ils sont en fait albanais (aghvans);

-      - Quant au Haut-Karabakh lui-même, c’est devenu selon Bakou un district azerbaïdjanais comme un autre, qui tombera officiellement dans son escarcelle en novembre 2025, conformément à l’accord trilatéral du 9 novembre 2020. Sous réserve que Poutine ne change de stratégie.

 

Il reste bien sûr les coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE, qui pourraient faire quelque chose, encore faudrait-il qu’ils décident de sortir de leurs communiqués génériques de donneurs de leçons. Malheureusement, on est bien loin de ce cas de figure.

-     - Le 31 janvier, l’ambassadrice Américaine Lynn Tracey a convenu avec le vice-premier ministre arménien que la question du statut du Haut-Karabagh n’a pas été résolue et que ce processus doit être mené sous le mandat des coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE.

-      - Le 9 mars, Emmanuel Macron et Nigol Pachinian se sont rencontrés à Paris en marge de la conférence ‘Ambitions’. Ils ont convenu de la nécessité d’un règlement global du conflit du Haut-Karabakh dans le cadre du format des coprésidents du groupe de Minsk de l'OSCE et la mise en œuvre des déclarations trilatérales signées après la guerre de 44 jours. En clair, la France ne compte pas changer son comportement au sein du Groupe de Minsk et confirme sa neutralité et sa bienveillance envers l’Azerbaïdjan.

-      - Quant à la Russie, elle a d’autres « chats à fouetter » en ce moment. Il faut toutefois reconnaitre que ses soldats de la paix en Artsakh font consciencieusement leur travail et protègent au mieux la population arménienne.

 

Ce comportement envers la Russie explique l’abstention de l’Arménie lors du vote de l’Assemblée Générale de l’ONU le 2 mars, concernant la résolution « déplorant dans les termes les plus énergiques ‘l’agression’ commise par la Russie contre l’Ukraine et exigeant que la Russie retire immédiatement ses forces militaires du territoire ukrainien ». On notera que la Turquie a voté ‘pour’ et que l’Azerbaïdjan, jouant sur les deux tableaux, n’a pas pris part au vote.

 

Poutine appréciera, lui qui a laissé faire l’installation de la continuité turco-azerbaïdjanaise dans la région.

 

 

 

 

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Traductions – revue de presse

 

Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de Hrabarag, de APA, de Azernews de Hurriyetet du Minist AE Arménie.


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Arménie

 


Le porte-parole du ministère arménien des Affaires étrangères, Vahan Hunanian, a commenté les propos des ministres des Affaires étrangères turc et azerbaïdjanais.

 

Q : Le ministre azerbaïdjanais des Affaires étrangères, Jeyhun Bayramov, a déclaré que l'Azerbaïdjan avait proposé à plusieurs reprises à l'Arménie de signer un traité de paix et que, malgré les difficultés, la normalisation des relations peut être envisagée. Comment 

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France

 


Le président Emmanuel Macron a invité le Premier ministre arménien Nigol Pachinian à Paris le 9 mars pour participer à la réunion sur la coopération franco-arménienne.

 

Macron a lancé cette invitation à l'occasion du 30e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la France et l'Arménie.

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Russie

 


Dimanche, le président Vladimir Poutine a eu une conversation téléphonique avec le président Recep Tayyip Erdoğan, a rapporté le service de presse du Kremlin.

 

"Vladimir Poutine a informé de l'avancement de l'opération militaire spéciale pour protéger le Donbass. il a décrit les principales approches et évaluations dans ce contexte. il a expliqué en détail les principaux objectifs et tâches fixés. Il a été souligné que l'opération spéciale se déroulait conformément au plan et en conformément au calendrier.

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Turquie-Azerbaïdjan

 

Forum diplomatique d'Antalya.


Les ministres des Affaires étrangères d'Arménie et de Russie, Ararat Mirzoyan et Sergueï Lavrov, se sont rencontré en marge du Forum.

 

Ils ont fait référence à l’agenda fourni de la coopération arméno-russe, et ont discuté des questions liées au renforcement ultérieur des relations alliées. Les interlocuteurs ont salué le niveau du dialogue politique entre les deux pays, les contacts actifs de haut niveau.

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Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de Hrabarag, de APA, de Azernews,  de Hurriyetet du Minist AE Arménie

 

 

 

vendredi 4 mars 2022

Quid des républiques autoproclamées ?

 

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Commentaires et Traductions de Gérard Merdjanian

 

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Commentaires

 

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Dès le lendemain de la dislocation de l’URSS, les charcutages territoriaux opérés par les bolcheviks dans les années 20 ont éclaté au grand jour. Les populations, voire les ethnies, en question ont demandé le détachement de leur gestionnaire ex-soviétique et leur reconnaissance. Comme il fallait s’y attendre, leurs velléités ont été durement réprimées.

 

C’est là qu’intervient la géopolitique des grandes puissances et plus précisément le vieil antagonisme Washington-Moscou, commençant à la création de l’URSS et s’amplifiant au lendemain de la guerre 39-45.

 

Tout le monde a pensé que suite à la chute du mur de Berlin en 1989, suivie un an plus tard de l’effondrement de l’Union soviétique, le monde bipolaire allait disparaitre ; d’autant que le nouveau président russe, était un homme plutôt conciliant. Colossale erreur de penser que les choses allaient en rester là.

 

Le tsarévitch du 21ᵉ préparait son entrée en scène. Se souvenant de la grandeur de la Russie, mais également de celle de l’Union soviétique avec ses 15 républiques, il a commencé à grignoter les républiques autoproclamées.

 

L’éclatement de l’URSS en 1990 a généré quinze nouvelles républiques - successeurs des RSS, rapidement reconnues par les Nations-Unis. D’autres hélas, étant des régions autonomes (Oblast) ont été oubliées. D’où des républiques autoproclamées, non reconnues par la communauté internationale.



On notera qu’elles se trouvent toutes, Chypre mise à part, dans les États du partenariat oriental de l’Union européenne.

 

Certaines sont contigües à la Russie, par exemple : L’Abkhazie, et l’Ossétie du Sud-Alanie, autoproclamées en juillet 1992, – enclavées en Géorgie ; Ou bien la Crimée, autoproclamée en mai 1992, et plus récemment le Donetsk et le Lougansk, autoproclamées en mai 2014 – enclavées en Ukraine.

 

D’autres relèvent de sa sphère d’influence, par exemple : la Transnistrie, autoproclamée en 1991 – enclavée en Moldavie ; Ou le Haut-Karabakh, autoproclamée le 2 septembre 1991 – enclavé en Azerbaïdjan.

 

D’autres enfin ont été créées de toutes pièces, en massacrant et chassant les autochtones. C’est le cas de la République turque de Chypre Nord (RTCN), imaginée et mise en œuvre par la Turquie en 1974 ; et maintenue depuis malgré les résolutions de l’Union européenne et du Conseil de sécurité de l’ONU. Mais Ankara n’est pas Moscou. Il y a les ‘bons’ envahisseurs OTANesques, qui peuvent continuer en Irak et en Syrie et les ‘mauvais’.

 

Certaines sont reconnues par un ou plusieurs pays, d’autres pas du tout.

 

Ainsi L’Abkhazie et l’Ossétie du Sud-Alanie sont reconnues en 2008 suite à la guerre russo-géorgienne par la Russie, l’Abkhazie, la Transnistrie, la Syrie, le Nicaragua, le Venezuela et l’île de Nauru.

 

La Crimée a été purement et simplement annexée par la Russie en 2014, alors que le Donetsk et le Lougansk viennent d’être reconnus par Vladimir Poutine en février 2022. 

 

La Transnistrie n’a de relations diplomatiques qu’avec ses alter-ego : l’Abkhazie, l’Ossétie du Sud-Alanie et le Haut-Karabagh.

 

Quant à République d’Artsakh (Haut-Karabakh), hormis ses trois alter-ego n’est reconnue par personne, Arménie comprise. Le grand homme qui gouverne l’Arménie, au demeurant excellent coupeur de tête, mais dont la vision en politique étrangère est équivalente à celle d’une taupe, ne se rend pas compte de l’énorme piège tendu par les turco-azéris avec l’aval discret du maître du Kremlin.

 

Suite au renforcement de l’alliance turco-azérie depuis plusieurs années, et surtout depuis la guerre de 44 jours, le camarade Poutine sait pertinemment que l’Azerbaïdjan est définitivement perdu pour la grande Russie qu’il veut recréer. Pour avoir la paix de ce côté-là - c'est-à-dire des pays musulmans, et s’occuper sérieusement des pays occidentaux, il lâche petit à petit l’Arménie et verrouille ses relations avec l’Azerbaïdjan. Sa « gentillesse » envers l’Arménie, soi-disant son ‘peuple frère’, reste une façade. On en a un aperçu avant et pendant la guerre arméno-azérie de 44 jours. Un autre ‘peuple frère’ en fait les frais actuellement.

 

Ilham Heydar öglu Aliev et Vladimir Vladimirovitch Poutine vienne de signer le 22 février à Moscou, une Déclaration sur "l'interaction alliée entre la République d'Azerbaïdjan et la Fédération de Russie". Le travail a commencé il y a un peu plus d'un an, soit deux mois après la fin de la guerre avec l’Arménie, pour aboutir à un document très complet composé de 43 dispositions et couvrant presque tous les principaux domaines d'activité bilatérale.

 

Pour ne pas être en reste, Poutine a donné à Nigol Pachinian un os à ronger : Assurer que le Haut-Karabakh ne sera pas vidé de sa population avec la mise en place de soldats de la paix russes. À noter au passage, la manière élégante d’occuper une partie de l’Azerbaïdjan. Et pour agrémenter le tout, il lui fait miroiter l’ouverture de la frontière avec la Turquie. Le tout avec l’accord hypocrite, pardon tacite, d’Erdoğan.

 


 

Autrement dit : Il y a deux poids deux mesures directement dépendant de la géopolitique des grands ou des blocs.

 

 

 



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Traductions – revue de presse

 

Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, de Azernews, de Hurriyetainsi que de l’Union européenne.


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Arménie

 


Le Parlement arménien a élu le 4 mars au scrutin secret Vahagn Khatchadourian Président de la République.

 

De 1992 à 1996, Khatchadourian a été maire d'Erevan et, en août 2021, a été nommé ministre de l'Industrie de haute technologie. 

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Russie

 


« La déclaration signée entre la Russie et l'Azerbaïdjan ne crée aucun problème pour l'alliance russe avec l'Arménie. Moscou respectera toutes ses obligations envers Erevan, qui est un allié de longue date et proche de la Russie, » a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

 

"Nous sommes convaincus que la signature de la déclaration susmentionnée avec Bakou renforcera la coopération trilatérale entre l'Arménie, l'Azerbaïdjan et la Russie.

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Turquie-Azerbaïdjan

 


« La Turquie est prête à prendre de nouvelles mesures pour améliorer les relations avec l'Arménie et établir une plate-forme de coopération régionale dans le Caucase du Sud. Et ce tant qu'Erevan est déterminé à poursuivre le processus de normalisation qui a commencé avec la nomination de représentants spéciaux pour mener des pourparlers diplomatiques et la relance des vols entre les deux pays, » a déclaré mercredi le président Recep Tayyip Erdoğan.

Suite

 

 

 

 

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Extrait de Radiolour, de PanArmenian, de News.am, de Azernews, de Hurriyetainsi que de l’Union européenne.

 

 



 

 

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